1. Il faut absolument aborder le marketing événementiel comme un outil de communication à part entière.
2. Lors de votre planification budgétaire annuelle, un montant doit être attribué au marketing événementiel. On ne produit pas un événement avec des «restants». Aucune comparaison avec les «restes» de frigo qui se transforment en repas gastronomique!
3. Déterminez votre objectif en trois mots, avec deux syllabes par mot. C’est la garantie de ne jamais perdre le nord! Le «Wow! » n’est pas un objectif…
4. Pratiquez de la créativité «utile» au service de l’objectif: cette stratégie fera naître un concept pertinent.
5. Oui à la nouvelle technologie, NON si c’est au détriment de l’humain. Un événement est l’occasion rêvée pour faire du B to B (Body to Body)!
6. S’entourer de fournisseurs aguerris pouvant exécuter des triples saltos arrière avec la «banane» facilite la gestion des nombreux imprévus. On est peu sans eux…
7. Ne jamais oublier que le marketing événementiel est avant tout la gestion du changement et du détail. Il faut être légèrement pétri de «psychorigidité» et beaucoup de polyvalence…
8. Outre maîtriser les plans de projets, les dossiers de production, les feuilles de route, etc., il est primordial d’aimer recevoir. Car au final, c’est la quintessence de cet outil de communication.
9. Mesurer les retombées d’un événement ne peut se faire que si l’objectif était bien établi au départ. Le rendement d’investissement devrait être au cœur de vos préoccupations, pas uniquement «l’esthétisme».
10. Un bilan de votre événement s’impose. C’est le moment où l’on se dit les vraies choses… même si ça fait mal.
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Mirella Di Blasio animera la formation Planifier, organiser et mesurer un événement le 19 novembre prochain au Campus Infopresse.