Fusion de Substance et Radiance : unir ses forces

30 Nov 2020 certification médias sociaux

Par : Formations Infopresse
Fusion de Substance et Radiance : unir ses forces

Infopresse – Vous avez récemment annoncé votre fusion avec Radiance. Pouvez-vous nous en dire plus sur les deux agences respectives et sur l’intérêt de cette fusion ?

Jean-Sébastien Giroux – Substance est une équipe de stratèges de marque et de contenu numérique ainsi qu’un studio de création de contenu complet et ultra-créatif. Chez Radiance on travaille en intelligence média et en solutions publicitaires intelligentes. Fondées par leur président Guillaume Brunet, les deux fonctionnent depuis longtemps main dans la main. On partageait les mêmes bureaux, on était complices. En fusionnant, on permet à nos clients d’avoir une expérience complète et clé en main. Ainsi, ils peuvent venir pour les services spécifiques d’une des agences, mais ont maintenant la possibilité de profiter de nos expertises respectives. On considérait déjà nos compagnies comme « sœurs ». La fusion semblait donc naturelle et nous a fait gagner en efficacité.

Infopresse – Votre fusion a aussi permis de faire entrer de nouveaux joueurs dans votre équipe. Pouvez-vous nous en dire plus sur l’arrivée de Michel Gagnon et de Nathalie Larivière comme actionnaires ?

Nathalie Larivière et Michel GAGNON

Jean-Sébastien Giroux – Nous collaborions déjà avec Michel et Nathalie. La fusion nous a donc permis d’ouvrir l’actionnariat, nous permettant de bénéficier de leurs compétences qui sont un atout formidable pour la compagnie. J’ai une relation d’affaires de longue date avec Michel Gagnon et c’est aussi un ami depuis longtemps. Sa maîtrise du marketing numérique, sa compréhension du monde des affaires et son approche globale appréciées des clients font de lui un actionnaire solide. Même chose pour Nathalie qui a travaillé chez  Québecor Média, TC Média et Groupe V Média. Dans les cinq dernières années, elle a beaucoup contribué à la croissance du Groupe.

Infopresse – L’ouverture de l’actionnariat vous a aussi donné l’occasion de créer un fonds de relève. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce fonds?

Jean-Sébastien Giroux – On avait déjà l’idée de faire entrer Michel Gagnon et Nathalie Larivière dans l’actionnariat, mais en discutant avec Guillaume, nous avons réalisé que nous partagions la volonté de créer un mécanisme pour créer une relève sur le long terme. Le Fonds est né de cette volonté. Nous avons donc invité sept jeunes directeurs talentueux à se joindre à l’actionnariat. Ils ont accepté et accentuent aujourd’hui leur participation à la croissance du groupe. Nos talents, c'est l’actif le plus précieux de Radiance et de Substance.

Infopresse – À ce propos, vous avez été nommé 2e meilleur employeur au Québec selon Great Place to Work. Comment obtient-on ce genre de titre?

Jean-Sébastien Giroux- Nous avons rapidement réalisé qu’une des choses les plus importantes dans une agence, c’est le capital humain. Cette réalisation-là a guidé un grand nombre de grandes et de petites décisions dans le but de favoriser la collaboration et le bien-être des équipes au quotidien.

Marc-André Dufresne – Il faut aussi rappeler que ce palmarès se fait à partir d’un sondage rempli par les employés eux-mêmes. En travaillant ici, on se sent valorisé. On sait que notre bien-être importe. Dans le contexte de la pandémie où le télétravail prend beaucoup de place, plusieurs employés manifestent l’envie de venir au bureau. Une stratégie d’alternance a donc été mise en place pour permettre une rotation de ceux qui viennent travailler sur place.

Jean-Sébastien Giroux – Exactement, et j’ai le sentiment que c’est cette philosophie du travail d’équipe qui nous permet de passer plutôt bien au travers de la crise actuelle.

Infopresse – La pandémie amène justement son lot de défis pour les entreprises. Quels sont ceux qui vous importent le plus?

Jean-Sébastien Giroux – Toujours dans l’idée de favoriser le bien-être de nos équipes, notre plus grand défi est de maintenir un niveau de collaboration et d’intégration. Avec des projets pancanadiens qui nécessitent un très haut niveau de collaboration, on a la responsabilité de s’assurer que nos équipes communiquent et échangent de façon optimale. Le télétravail ajoute une pression importante. On doit quand même trouver des façons de maintenir le niveau d’intégration, même avec le télétravail. C’est évidemment plus simple de solidifier les équipes quand on a l’occasion de se voir en personne, de discuter de façon informelle, de faire des cinq à sept. Mais on travaille rigoureusement pour arriver à maintenir l’intégration malgré la distance.

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