C'est en novembre 1995 que les Éditions Infopresse ont lancé la première édition du Concours de communications interactives, devenu le concours Boomerang l'année suivante. À l'époque, le but était de rapprocher deux mondes qui ne se connaissaient pas, ceux du marketing traditionnel et des technologies interactives.
«Le nom boomerang renvoyait à cette idée que toute stratégie de communication lancée revient sous la forme de ventes et d'interactions avec les consommateurs», souligne Isabel Charbonneau, directrice générale d'Infopresse.
Si le trophée a quelque peu évolué au fil du temps, le boomerang en bois de Wallaby, lui, est resté. Le sculpteur Pierre Fournier produit la base en aluminium qui le supporte.
En 1995, 30 entreprises avaient soumis un total de 70 pièces dans cinq catégories (site web, borne interactive, présentation multimédia, ligne audiotex et concept média). Au gré des ans, les catégories ont subi plusieurs modifications afin de refléter l'évolution du milieu. Aujourd'hui, le concours comprend 27 catégories, et plus de 200 pièces ont été présentées cette année.
En tout, plus de 120 marques et agences se hissent dans le palmarès 2017 en tant que finalistes du concours, qui récompense le meilleur du numérique au Québec.
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