Quelles stratégies adopter sur Facebook et Instagram?

Le monde du numérique évolue constamment et il est essentiel de se perfectionner pour rester compétitif. 

Stratégies, outils, tactiques… Les conférences d'expertises et études de cas de cette journée explorent Facebook et Instagram en profondeur et montrent l'étendue des possibilités sur celles-ci. Elle s'inscrit dans la continuité de la journée-conférence Médias Sociaux: Sommet 2020 qui a eu lieu en 2019. 

Se démarquer par la connexion: utiliser les outils commerciaux de Faceboo pour obtenir des résultats

Les ventes en ligne au Canada ont atteint un niveau record en 2020, et de nombreuses entreprises estiment que les canaux numériques continueront à jouer un rôle important à l'horizon 2021. Avec autant d'entreprises en ligne, il n'a jamais été aussi important de se démarquer auprès de ses clients en connectant avec eux à un niveau personnel. Dans cette conférence, Facebook Canada partagera les nouveaux outils et stratégies disponibles sur Facebook pour vous aider à rencontrer vos clients là où ils se trouvent et à stimuler la croissance de votre entreprise.

Stratégie médias sociaux: des contenus qui performent 

Comment déployer une stratégie de contenu efficace et performante sur Facebook et Instagram? Sur quelles plateformes diffuser quel type de contenu, et de quelle manière? Quelle place doit prendre celle-ci dans une stratégie de contenu plus globale? 

Pour Alexandre Gravel, associé fondateur chez Toast Studio, il est primordial de combiner ses audiences propres et les audiences que possèdent les plateformes sociales. Il partage les tactiques et ses astuces pour élaborer une stratégie de contenu performante.

Les API: un outil puissant et méconnu pour optimiser son contenu 

Trop souvent inutilisées ou mal comprises, les API sont une mine d’or où dorment des données riches sur les utilisateurs des plateformes sociales. Lorsqu’elles sont bien utilisées, elles peuvent permettre d’augmenter la portée de son contenu sur les plateformes sociales. 

Comment tirer tout le potentiel de ces informations? Comment s’en servir et dans quel contexte? Luc Normandin, vice-président digital de Timecode Lab, montre tout le potentiel des API avec plusieurs exemples, tant conventionnels que créatifs.

A&W et la chasse à l'homme burger: savoir saisir les opportunités

Le 19 octobre 2019, A&W Canada se fait identifier dans la Story Instagram d’une tatoueuse. La photo présente un tatouage de burger affublé du mot d’amour « A&Doux ». La marque aurait très bien pu saluer le geste de son fan le plus fidèle en catimini, mais elle a décidé de se prêter au jeu et d’en faire une campagne sociale à laquelle tout le Québec était invité à participer.

Comment transformer une opportunité en campagne? Quels en sont les risques? Quelle est la différence entre la viralité et l'amplification?

Stories Instagram: conseils pratiques et astuces pour mieux se démarquer 

Plus de 500 millions de comptes Instagram publient et visionnent des Stories chaque jour. De plus en plus d'utilisateurs préfèrent même les regarder plutôt que de faire défiler leur flux d'actualité.

Souvent négligé par les marques, ce format de contenu est un vecteur d'engagement puissant allant au-delà des simples mentions J'aime en créant une connexion avec l'audience et en générant des discussions privées. 

Mais, pour bien faire les choses, les Stories Instagram demandent du temps, des efforts et de la planification. À quels objectifs de communication les Stories répondent-elles? Quelles sont les clés qui permettent d'acquérir un plus grand nombre d'abonnés fidèles? Comment s’en servir pour booster l'engagement et l'attachement global à la marque? 

Données, performance et vulgarisation, c'est quoi le rapport? 

L'intérêt que nous avons envers la lecture d'un rapport de performance est inversement proportionnel à la quantité de chiffres qui s'y trouvent. Lorsque vient le temps de mesurer ses performances, quels pièges faut-il éviter et dans quel contexte est-ce préférable de regarder un indicateur plutôt qu’un autre? Comment comprendre ses données pour prendre de bonnes décisions? Comment les vulgariser et rendre intelligibles ses résultats? 

Émilie Leclerc, spécialiste marketing numérique chez Substance clarifie quels indicateurs analyser, dans quels contexte, et montre comment réconcilier la mesure de la performance et la créativité.

Pour la programmation complète, cliquez ici.

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La conférence Facebook et Instagram est une initiative Infopresse.

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En couverture: une photo de Georgia De Lotz pour Unsplash

Bien que chaque cas soit unique, certaines causes courantes peuvent expliquer en partie l’inefficacité d’un employé au travail. Une mauvaise connaissance de la mission et des objectifs de l’entreprise en est une fréquente, tout comme l’incompréhension du travail de ses pairs. «Quand une personne ignore ce que fait son voisin de bureau ou son collègue, elle n’optimise pas la présence de celui-ci», estime Nicolas Sève, cofondateur et associé de la firme spécialisée C3pH.

Si ladite personne doit ainsi réaliser une tâche qui sort de ses fonctions habituelles, elle y consacrera peut-être un temps exagérément long sans savoir qu’un collègue aurait pu l’aider, ayant lui-même dû exécuter cette tâche auparavant. L’expert ajoute que le travail à distance et l’éparpillement physique de l’effectif rendent plus difficile l’établissement de tels liens essentiels.

«Il faut incarner les valeurs dans ses décisions et ses gestes. C’est ainsi qu’elles en viennent à être pleinement saisies.»

La compréhension des valeurs peut aussi poser problème. Il ne faut jamais tenir pour acquis que les valeurs sont bien cernées par chacun. Erreur classique: se contenter d’en parler lors de l’embauche, puis de ne plus jamais y revenir. «De fait, en parler, ce n’est pas assez, lance Nicolas Sève. Il faut incarner les valeurs dans ses décisions et ses gestes. C’est ainsi qu’elles en viennent à être pleinement saisies.»

Changements rapides et effet de contagion

Les transformations perpétuelles au sein d’une organisation complexifient également la situation, juge Dominic Migneault, aussi cofondateur et associé de C3pH. «Des changements successifs implantés trop vite se chevauchent et laissent, de cette manière, trop peu de temps aux employés afin de bien les intégrer.»

Pour leur part, les taux de roulement élevés ont un double effet négatif. En plus de la perte de savoir qu’ils occasionnent, ils engendrent un flou temporaire, car il faut distribuer les tâches de l’ex-employé aux actuels en attendant de trouver la bonne personne.

Il existe aussi un phénomène de contagion des départs, observe Nicolas Sève. «Quand un leader quitte une entreprise, les autres employés se mettent vite à s’interroger sur les raisons de sa décision. Cela crée souvent un sentiment d’insécurité et, parfois, un effet de dominos.»

Pas de jugements hâtifs

Comment alors améliorer la performance d’un employé moins efficace? «Avant de juger qu’il ne fera jamais rien de bon, il faut se poser certaines questions, croit Domnic Migneault: Comprend-il bien ses tâches? A-t-il été adéquatement formé? Est-il bien encadré? Les objectifs de l’entreprise sont-ils clairs à ses yeux?»

Les méthodes d’évaluation conventionnelles sont aussi en cause et, à ce chapitre, la traditionnelle rencontre annuelle ne suffit pas, avancent les deux experts. «Au fil d’une année, bien des choses peuvent changer dans le quotidien d’un employé. Par conséquent, il est nécessaire d’interagir avec lui plus souvent, question de lui procurer une évaluation juste et représentative de son travail récent.»

«La traditionnelle rencontre annuelle ne suffit pas.»

Une approche gagnant-gagnant

Nicolas Sève plaide donc pour une rétroaction continue. «Pourquoi ne pas rencontrer l’employé à la fin d’un mandat précis?, suggère-t-il. Ainsi, il saura que son patron a été témoin de son travail et il pourra, au besoin, apporter les ajustements nécessaires si une mission de même nature se représente.»

Enfin, le parrainage, le coaching ou le mentorat représentent des avenues à envisager, surtout que tout le monde y gagne, d’après Dominic Migneault. «Par exemple, dit-il, un employé débutant apprendra mieux et plus vite s’il est couplé avec un employé d’expérience, alors que ce dernier sentira que, par cette approche, ses compétences sont valorisées par l’organisation.»

Photo de Spencer Davis sur Unsplash